Warning: session_start(): open(/var/lib/php/session/sess_3975497e27a18586d5f97e15bc077dc9, O_RDWR) failed: No space left on device (28) in /var/www/vhosts/foad-spirit.net/httpdocs/bandeau-boite-quiz.php on line 2 Warning: session_start(): Failed to read session data: files (path: /var/lib/php/session) in /var/www/vhosts/foad-spirit.net/httpdocs/bandeau-boite-quiz.php on line 2
Passez votre souris sur les textes pour en savoir un peu plus, ou cliquez sur les numéros pour passer d'une vidéo à l'autre...
Corsaire
Jeune et fougueux corsaire au service de la France, capitaine à vingt ans, je vais commander successivement plusieurs bâtiments: l' émilie, le Cartier, la Clarisse, la Confiance et le Revenant.
J'effectuerai des dizaines de combats et par deux fois, je ferai front à deux contre un : en février 1799 contre l Anna-Maria et le Coturbok puis en janvier 1800 contre la Louisia et le Mercury.
Je totaliserai entre 1795 et 1801, puis 1807 et 1808, pas moins de 44 prises dont deux - le Triton et le Kent - entreront dans la légende.
Pionnier
Je suis également considéré comme l'inventeur d'une ruse de nuit (que l'on peut retrouver dans les aventures de Barbe-Rouge en bande dessinée ou dans le film Master and Commander, où les Britanniques racontent comment ils auraient bien voulu en finir avec Surcouf) qui consiste à faire un petit radeau où l'on accroche des lanternes de manière à faire croire aux poursuivants que le navire se situe à un autre endroit.Meilleur marin
Moi, Surcouf, je suis considéré comme l'un des meilleurs marins que la France ait jamais eus.
Redoutable, intenable sur tous les bords, c'est grâce à moi que de nombreux vaisseaux britanniques furent détournés en faveur de la Monarchie, de la République, du Directoire, du Consulat et de l'Empire.
J'ai réussi en seulement cinq années, à attaquer une cinquantaine de navires britanniques et portugais alors alliés.
Exploits
Je suis le plus célèbre des armateurs malouins et j'entre dans la légende dès l'âge de vingt-trois ans, en 1796 quand, avec un équipage de 190 hommes, je prends à l'abordage un grand vaisseau britannique, trois fois plus important et plus armé que le sien.
Peu après, avec mon bateau, n'ayant que deux canons, je mets le cap sur un gros trois-mâts : c'était un vaisseau de la compagnie des Indes, monté par 150 Européens et armé de 26 canons de 12 ; il se nommait le Triton.
Je dus mon succès à un stratagème faisant cacher tout son équipage pour me faire passer pour un des pilotes du Gange. Je me fis maître du vaisseau, n'ayant eu que deux blessés et un mort parmi les miens.
Exploits (suite)
Chassé par trois vaisseaux de la Compagnie, je parviens au moyen d'une manœuvre habile à les isoler ; puis, les attaquant séparément, j'en enlève deux, et contrains le troisième à prendre la fuite.Exploits (suite)
Saint-Malo étant occupé par les Prussiens, je me pris de querelle avec eux et défiai en duel tous les officiers du régiment concerné. Les Prussiens, se considérant comme experts au sabre, relevèrent l'offre très imprudemment.
J'ai tué ou blessé les 15 premiers à la suite, mais j'ai laissé aller le dernier (qui était le plus jeune et devait probablement être quelque peu démoralisé par le spectacle auquel il avait assisté) pour qu'il puisse témoigner que tout s'était passé dans les règles.
Ma vie en bref
Moi, Robert Charles Surcouf (1773-182) je suis un corsaire français.
Marin intrépide, j'ai harcelé sans répit les marines marchandes et militaires britanniques, non seulement sur les mers de l'Europe, mais aussi sur celles de l'Inde. Mes multiples exploits dans ce domaine me vaudront à la fois la gloire (nommé membre de la Légion d'honneur en 1804), mais aussi la fortune.
M'étant embarqué dès l'âge de 13 ans entre désir d'aventures et besoin d'argent, je pourrai me flatter, à la fin de ma vie, d'être un des plus riches et puissants armateurs de Saint-Malo doublé d'un prospère propriétaire terrien de 800 hectares.
Indépendant
Napoléon me proposa le commandement des forces navales françaises, mais j'ai refusé car je n'avais pas l'indépendance totale des manœuvres.
Napoléon : «Je ferai de vous un homme riche !»
Moi : «J'ai déjà tout ce qu'il me faut : mon cabinet est tapis de lingots d'or»
Napoléon (offusqué) : «Comment ? Mais vous me marchez sur la face !»
Moi : «Non Monsieur, je les ai disposés sur la tranche ...»
Sens de la répartie
Lors d'un dîner en présence de mes anciens ennemis britanniques, l'un d'eux lui dit :
je lui répondis d'un ton calme :
Surcouf, n'était pas seulement valeureux marin, il avait aussi le sens de la répartie. Pour moi, il est plus efficace de saper l'économie de l'adversaire que de détruire ses navires armés.
Indice n°10
TexteIndice n°11
TexteIndice n°12
TexteIndice n°13
TexteIndice n°14
TexteIndice n°15
TexteIndice n°16
TexteIndice n°17
TexteIndice n°18
TexteIndice n°19
TexteIndice n°20
TexteIndice n°21
TexteIndice n°22
TexteIndice n°23
TexteIndice n°24
TexteIndice n°25
TexteIndice n°26
TexteIndice n°27
TexteIndice n°28
TexteIndice n°29
TexteIndice n°30
Texte
Robert Surcouf & l'audacieuse prise du Kent...
Robert Surcouf Roi des Corsaires...
Reportage : La vie de Robert Surcouf...
SURCOUF - Emission "Thalassa" :
Les Corsaires...
Quelle Aventure :
Sur la piste des pirates et des corsaires...
Qui n'a jamais rêvé d'être un pirate ?
Fred lui part à la rencontre des pirates et des corsaires pour nous en apprendre plus sur leur vie.
Master and Commander : De l'autre côté du monde - Bande Annonce du film sorti en 2003.
Film américain de Peter Weir avec Russell Crowe, Paul Bettany, Billy Boyd.
Un excellent film à voir, si vous l'avez pas déjà vu.
Pirates Des Caraibes, La Malediction Du Black Pearl (VF) - Bande Annonce.
Film américain de Gore Verbinski sorti en 2003 avec Johnny Depp, Geoffrey Rush, Orlando Bloom...
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Rien à signaler.
Bon voyage ! |