Peut-on faire la guerre sans combattre ?
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personnage
« L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat. » (Sun Tzu)

Peut-on faire la guerre sans combattre ?

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Le saviez-vous ?

« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l'ennemi sera victorieux une fois sur deux. Qui ne connaît ni son ennemi ni lui-même est toujours en danger. » (Sun Tzu)

Intro

Obtenir la reddition d'un ennemi sans avoir à le combattre, installer le doute ou la peur dans son esprit, amener des forces armées à trahir leur chef : ces objectifs comptent parmi ceux de la guerre psychologique.

Tracts, prise de contrôle des moyens de télécommunication, embrigadement, tous les moyens sont bons.

Ces principes stratégiques sont appliqués au domaine militaire, mais peuvent l'être aussi à celui des affaires, de la politique ou de la société.

Ingénierie sociale ?

Wikipédia donne trois définitions de l’ingénierie sociale reposant toute sur un concept commun la modification planifiée du comportement humain.

  1. Science politique : une pratique visant à modifier à grande échelle certains comportements de groupes sociaux.
  2. Sécurité de l’information : une pratique visant à obtenir par manipulation mentale une information confidentielle.
  3. Psychologie : une pratique utilisant des techniques de manipulation psychologique afin d’aider ou nuire à autrui.

Concrètement

Il s'agit d'une pratique consciente, intentionnelle et délibérée du changement s'appuyant sur une modélisation scientifique et une programmation de type algorithmique du comportement : « Si ceci, alors cela ». Pour l'ingénierie sociale, il s'agit d'anticiper, de susciter ou d'accompagner le changement chez les hommes, dans les entreprises, dans les organisations et dans les territoires lorsqu’il y a des mutations économiques, sociales, culturelles, technologiques ou environnementales.

C'est donc un ensemble de méthodes et de techniques de « manipulation » psychologique et comportementale érigée en science exacte. Bienveillante ou malveillante, elle s’appuie toujours sur un repérage des faiblesses et des failles du sujet (organisations, personnes, société...) manipulé, que ce soit pour les réparer, les contenir ou au contraire pour les exploiter.

Infoguerre

L'arrivée de l'informatique offre énormément de nouvelle possibilité aux actions psychologiques notamment du au fait que nous sommes devenus dépendant des systèmes informatiques.

Schwartau (1993) décrit une nouvelle façon de faire la guerre, l'infoguerre.

Ainsi, le piratage informatique qui peut être utilisé à des fins de sabotage, de criminalité ou de recherche d'informations confidentielles.

De plus, parce que les gens croient qu'un ordinateur est un outil ne pouvant pas se tromper, l'autoroute de l'information devient un excellent lieu pour faire une désinformation afin de briser la réputation d'un individu en modifiant certains dossiers confidentiels peu protégés (crédit, dossier judiciaire, etc.).

Citations

Citations de Sun Tzu :

  • « En tuer un pour en terrifier un millier. »
  • « Jamais guerre prolongée ne profita à aucun pays. »
  • « Toute guerre est fondée sur la tromperie. »
  • « Ne laissez pas vos ennemis s'unir. »
  • « La guerre est semblable au feu, lorsqu'elle se prolonge elle met en péril ceux qui l'ont provoquée. »
  • « Il n'y a pas de forteresses imprenables, il n'y a que des mauvais attaquants. »

L'art de la guerre, les origines

La tradition associe l'Art de la guerre, à un général nommé Sun Tzu. Sun Tzu était un général chinois qui vécut 3 siècles avant J-C. Il écrivit un texte nommé l’art de la guerre. Pour lui, « Ceux qui sont experts dans l’art de la guerre soumettent l’armée ennemie sans combat. Ils prennent les villes sans donner l’assaut et renversent un état sans opération prolongées. ».

Les préceptes de son texte touchant les techniques d’influence :

  • sont nombreux (discréditer les chefs, désorganiser l’autorité, ridiculiser les traditions, semer la discorde entre les citoyens, perturber l’économie, répandre l’immoralité et la débauche, utiliser les hommes vils et dresser les jeunes contre les vieux...)
  • et se divisent en trois catégories d’actions psychologiques : la propagande, la désinformation et la mesure active.

Propagande

La propagande se définit comme de la communication sans moyen violent utilisée pour modifier l'opinion, l'attitude, les émotions ou les comportements de n'importe quel groupe dans le but de favoriser l'utilisateur (militaire ou non) directement ou indirectement. La plupart des techniques de propagandes actuelle se sont développé aux cours des deux guerres mondiales.

Elle se distingue de la publicité par le seul fait qu'elle porte un message politique, idéologique ou d'intérêts publics plutôt que commercial et qu'elle laisse moins de place aux « free will » pour se manifester.

Son but est d'exercer une influence sur l'individu ou sur un groupe soit pour le faire agir dans un sens donné ou soit pour le rendre passif et le dissuader de s'opposer à certaines actions (Durandin, 1993).

Son succès

Le succès de la propagande dépend de l'habileté du propagandiste à associer un des thèmes qu'elle développe à une des quatre pulsions majeures de l'être humain (agressivité, satisfaction matérielle, désir sexuel, amour parental ).

L'individu soumis à ces pulsions agirait de façon inconsciente conformément à ce qui lui a été dicté.

En étudiant les différentes entreprises de propagande, Tchakhotine fut amené à remarquer l'importance de l'utilisation judicieuse des symboles psychologiques (hymnes, logo, etc.) qu'il considère comme la clef de la propagande.

Symboles

Les symboles fonctionnent non seulement comme un signe de reconnaissance entre individus se réclamant d'une même communauté de pensée, mais aussi comme stimulus conditionnel.

Le symbole frappe et suggère sans informer, il fait appel à l'émotivité.

De plus, selon Tchakhotine, environ 10% de la population (les « actifs ») ne serait pas susceptible a être influencé par la propagande. Par contre, il note que 90 % de la population sont susceptibles à la propagande (les passifs) et que cela est amplement suffisant pour atteindre une majorité.

Déroulement

A titre d'exemple, Clyde Miller a établit des lois concernant le bon déroulement de la propagande fasciste :

  1. suggérer la peur et faire ensuite entrevoir la possibilité d'atteindre la sécurité par les actions suggérées,
  2. mettre les nouvelles idées en relation avec des idées qui leur sont coutumière pour les faire accepter par les masses,
  3. avoir un nombre relativement restreint de formules tranchantes et concises afin qu'ils deviennent des symboles,
  4. sans cesse exposer la population à la propagande,
  5. appuyer la force à la propagande pour empêcher les autres idées de s'exprimer,
  6. employer l'exagération et
  7. adapter la propagande en fonction de l'auditoire auquel ont s'adresse.

Désinformation

Selon Durandin (en 1993), les désinformations peuvent se classer par des procédés différents constitués des trois catégories suivantes :

  • le signe,
  • l'opération
  • et les canaux.

Conditions

Pour pouvoir faire une désinformation, il faut tout d'abord que les renseignements obtenus démontrent que les cibles sont susceptibles a être affectée par une désinformation.

Cette susceptibilité provient de :

  1. une cible apte à être déformée,
  2. un état d'esprit dans la population ou chez les dirigeants tel qu'il acceptera la désinformation comme légitime,
  3. une désinformation qui doit correspondre avec leur préconception de la réalité ou leur mode,
  4. avoir des canaux de désinformation crédible et bien établis et
  5. la cible doit être convaincue que le désinformateur ne peut pas l'atteindre.

Signes

Il peut y avoir plusieurs signes que l'on montre à la cible pour faire une désinformation : les paroles orales ou écrites, les images (photographies et films), les faux phénomènes, les fausses actions (manifestations prétendues spontanées) et les faux documents (contrefaçon).

Si plusieurs signes différents qui s'accordent pour décrire le même mensonge l'effet de la désinformation augmente.

En plus de pouvoir présenter les mensonges en information factuelle, l'existence de mots fait croire à l'existence de chose, donc par le langage on peut instiguer un jugement d'existence et de valeur : Trouver des mots qui portent est plus important que de transmettre des données objectives.

Opérations

Selon Durandin en 1993, les opérations constituent les diverses façons d'altérer la représentation de la réalité. Elle sont fonction du choix que le désinformateur fait des éléments à montrer ou non et fonction de sa thèse. Ce dernier peut :

  • soit réduire des éléments (omission de faits, négation, minimisation ou suppression de trace),
  • soit mettre en valeur des éléments (exagération, exhibition)
  • soit faire une combinaison des deux (exagérer l'importance de certains faits et en omettre d'autres). S'il manque des éléments pour soutenir une thèse, le désinformateur peut en inventer. L'omission est l'opération la plus facile car il ne soulève pas de contradiction.
  • soit noyer l'information par surprésentation. Il suffit de présenter un maximum d'informations (souvent en direct) superflues afin de masquer les informations importantes.

Canaux

Les canaux sont les moyens utilisés pour transmettre la désinformation vers un large public ou des groupes spécifiques.

  • Pour un large public : les médias de masses, les communications informelles (rumeur, conversation), les organisations de masses (ONG, groupes communautaires), manifestation culturelle (fête, sports) ou des mouvements de masse (mouvement écologique, pacifique, etc.).
  • Pour un groupe spécifique : des périodiques spécialisés, des organisations professionnelles (congrès, etc.), des signes prétendus confidentiels, personnes influentes ou des agents d'influence (membre des services de renseignement).
    • L'utilisation de journalistes est utile car : ils n'ont pas toujours le temps de vérifier leurs sources, ils sont facilement influençables (chantage, corruption), ils sont crédibles et ils ont accès à de vastes moyens de diffusion.

Techniques

L'acteur désinforme dans un journal ou une radio soit :

  1. en ne présentant que des nouvelles fausses pour lesquelles l'auditeur ne peut vérifier,
  2. en sélectionnant que des nouvelles allant dans le sens de ses intentions,
  3. en mélangeant des informations véritables et des informations fausses,
  4. en « commentant » des informations vraies,
  5. en exposant des nouvelles vraies avec des preuves concrètes dans un contexte qui en changent le sens,
  6. en grossissant et défigurant les informations vraies afin de susciter des sentiments forts chez les auditeurs,
  7. en donnant une répartition inégale de la longueur et de la qualité des informations,
  8. en habillant une information fausse avec un fait réel et
  9. en donnant l'information sans conclusion de façon à ce que l'auditeur fasse lui-même la conclusion qui s'impose.

Objets

La désinformation peut porter sur les faits, les intentions, les opinions, les valeurs ou sur les croyances/idéologies : Les faits touchent ce qui peut être observé par plusieurs personnes, que ce soit des comportements ou des situations.

Plus les faits sont difficiles à connaître, plus il est facile de les déformer et moins il y a de témoins, plus le fait est propice à la désinformation. Les événements passés et historiques sont donc facilement manipulés.

Les moyens de cacher ses intentions sont simples :

  1. ne pas en parler,
  2. utiliser des termes vagues de façon à provoquer plusieurs analyses possibles,
  3. faire semblant de respecter les valeurs d'autrui
  4. faire de faux plans pour ensuite les laisser « découvrir » par son antagoniste.

Mesure active

Selon Bloom (1991), les mesures actives comprennent toutes opérations directes visant à influencer les récepteurs. Elles sont habituellement clandestines et exécutées par des services de renseignements.

Ces mesures peuvent être des assassinats, de la diplomatie coercitive , du chantage sexuel sur l'élite étrangère, du terrorisme, du soutien financier de partis politiques en dehors du pays, d'infiltration d'organisation de masses , de formation de spécialistes (guérilla/antiguérrilla), de sabotage ou d'aide international.

Plusieurs de ces actions sont très coercitives par nature (l'assassinat) mais ces mesures sont incluses comme actions psychologiques car elles visent une modification de comportements de la part de la cible (individu ou groupe) et non véritablement pour sa destruction.

Intérêts

Bloom (1991) donne 7 raisons rendant les actions psychologiques plus avantageuse que l'usage de la force pour atteindre des objectifs :

  1. elles sont moins dispendieuses,
  2. elles permettent d'atteindre un plus grand nombre d'objectifs,
  3. toutes actions ou situations ont des significations psychologiques qui peuvent être utilisées,
  4. la population est peu favorable à l'usage de la force et les actions psychologiques deviennent un moyen populaire d'imposer ses politiques,
  5. les dilemmes de sécurité sont des phénomènes psychologiques qui peuvent avoir plus d'effet sur les actions de l'antagoniste qu'une démonstration de force,
  6. elles permettent d'atteindre des objectifs sans perte de vie et
  7. elles peuvent être implantées sans que la cible s'en aperçoive.

Assasinat

Un assassinat comme mesure active peut servir à

  1. renforcer la perception des capacités militaires et de la volonté politique d'un groupe paramilitaire ou rebelle,
  2. tuer clandestinement certains de ses alliés pour ensuite condamner publiquement les «  massacres » de son adversaire et ainsi prendre du capital politique,
  3. induire la peur à une élite scientifique ou corporative pour les empêcher de collaborer avec l'adversaire,
  4. assassiner un média afin de forcer les autres journalistes à ne pas aborder une question du problème et
  5. dans une dictature, utiliser l'assassinat pour instiguer la peur et maintenir le pouvoir.

Intoxication

L'intoxication (ou désinformation tactique) est une autre forme de mesure active qui consiste à implanter de fausses informations dans les services de renseignements ennemis par l'entremise d'un intoxicateur (généralement un agent double) (Volkoff, 1986).

Cette mesure consiste à faire croire aux dirigeants ennemis ce qu'il faudrait qu'il croit pour courir à sa perte soit sur le plan politique ou sur le plan militaire (Durandin, 1993).

L'intoxication la plus efficace fut faite par les nazis envers Staline (Durandin, 1993) avant la deuxième grande guerre, en lui laissant croire que la majorité de l'état-major russe conspirait contre lui. Plus de 80 % des hauts gradés russes furent fusillés avant la guerre.

Subversion

La subversion est une action qui regroupe l'ensemble des moyens psychologiques ayant pour but le discrédit et la chute du pouvoir établi sur des territoires politiquement ou militairement convoités.

Elle vise à susciter un processus de dégénération de l'autorité pendant qu'un groupe désireux de prendre le pouvoir s'engagera dans une guerre « révolutionnaire ». Un état peut utiliser la subversion afin de créer le chaos dans un pays étranger soit pour des raisons politiques ou militaires. Elle est la base du terrorisme et de la guérilla.

Les objectifs de la subversion sont : de démoraliser la population et désintégrer les groupes qui la composent, de discrédité l'autorité et de neutraliser les masses pour empêcher toute intervention générale en faveur de l'ordre établi (Mucchieli, voir Volkoff, 1986).

Planification

La planification est un aspect essentiel de toute action psychologique. Les actions doivent avoir des objectifs précis.

On peut distinguer trois étapes...

Planification : première étape

La première étape à toute action psychologique est la recherche de renseignement (McLaurin, 1982). Celle-ci peut se faire grâce à des techniques de recherche de marché (sondage d'opinion, etc.), entrevue, interrogatoire ou de l'analyse de contenus de documents. Ces techniques peuvent provenir de sources d'information variées : des renseignements humains (prisonnier de guerre, civil ennemi ou allié, ...), de renseignements électroniques (écoute électronique, interception de données informatiques), des documents capturés, des experts ou par une revue de littérature (rapport de renseignement, propagande ennemie, média de masse...).

La recherche de renseignement vise à :

  1. définir les audiences clefs dans une population,
  2. évaluer les attitudes et les motivations des gens,
  3. analyser les vulnérabilités d'audience spécifiques et
  4. déterminer le meilleur moyen d'atteindre ses objectifs.

Planification : deuxième étape

La deuxième étape d'une propagande consiste à choisir le contenu du message, les moyens de communications et les techniques utilisées en fonction des objectifs, de la situation et de l'audience ciblée.

Il est a noté que pour Lerner (1972), il est important que le contenu du message soit cohérent avec ce que les gens croient.

Planification : troisième étape

La troisième étape consiste à planifier la logistique nécessaire et à transmettre la propagande. On doit :

  1. attirer l'attention,
  2. être compréhensible par la cible,
  3. ne pas l'offenser,
  4. activer des besoins individuels et fondamentaux et
  5. proposer une réponse pour une collectivité car les comportements sont fortement influencés par son rôle et son groupe de pairs (McLaurin, 1982).

Mêmes facteurs de persuasion qu'en publicité :

  1. la source doit être crédible, prestigieuse et/ou similaire à la cible ,
  2. le contenu dépend des objectifs, mais il doit être semblable aux attitudes de la cible ,
  3. de façon générale, les masses médias sont plus efficaces et l'audience cible doit être celle ayant les attitudes les moins prononcées.

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